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Coucou tout le monde,
Voici mes dernières lectures.
En ce qui concerne "Au bout de mes rêves", jamais un livre ne m'a fait cet effet.
Je m'explique : quand je l'ai commencé, je me suis dit "celui-ci sera sûrement un 5 étoiles, au fil de ma lecture, il est descendu à 4 puis a stagné un bon moment à 3 avant de redescendre à deux et finir à 1. Cela reste toutefois, comme toujours, un avis très personnel.
Au bout de mes rêves - Marie Meyer
On naît,
On grandit,
On se marie,
On célèbre la vie,
On subit la mort,
On apprend de ses erreurs,
Du moins on essaie...
La vie est faite d'obstacles et c'est à nous de les surmonter sans sombrer.
Je suis Sam, une maman de deux enfants, qui se bat chaque jour pour s’en sortir. Recommencer est une chose que je connais bien, maintenant. J'ai dû faire face à la mort de mon mari, mais pas que.
Le hasard de la vie peut nous mener vers des secondes chances, nous donner l'opportunité de se relever à nouveau...
Mais comment faire confiance à l'autre quand on ne se fait pas confiance à soi-même ? Quand notre propre estime a disparu, que nous reste-t-il ?Témoin muet - Agatha Christie
Toute la maisonnée est contrariée après l’accident qui a failli coûter la vie à tante Emilie : une chute sur la balle du chien malencontreusement abandonnée dans l’escalier… Mais plus elle y pense, plus Miss Emilie Arundell est convaincue qu’un de ses proches essaie de l’éliminer. Elle confie ses soupçons à Hercule Poirot dans une lettre datée du 17 avril. Mais celui-ci ne la reçoit que le 28 juin… Entre temps, Miss Arundell, connue pour sa santé fragile, est belle et bien morte. Serait-il possible qu’une personne de son entourage ait précipité sa fin ?
Les identités meurtrières - Amin Maalouf
Que signifie le besoin d’appartenance collective, qu’elle soit culturelle, religieuse ou nationale ? Pourquoi ce désir, en soi légitime, conduit-il si souvent à la peur de l’autre et à sa négation ? Nos sociétés sont-elles condamnées à la violence sous prétexte que tous les êtres n’ont pas la même langue, la même foi ou la même couleur ?
Né au confluent de plusieurs traditions, le romancier du Rocher de Tanios (prix Goncourt 1993) puise dans son expérience personnelle, aussi bien que dans l’histoire, l’actualité ou la philosophie, pour interroger cette notion cruciale d’identité. Il montre comment, loin d’être donnée une fois pour toutes, l’identité est une construction qui peut varier. Il en dénonce les illusions, les pièges, les instrumentations. Il nous invite à un humanisme ouvert qui refuse à la fois l’uniformisation planétaire et le repli sur la «tribu».
Sous le même toit - Jojo Moyes
Toutes les maisons de famille ont une histoire…
Isabel n’a pas le temps de s’apitoyer sur son sort quand elle perd son mari : Laurent lui laisse une montagne de dettes, et les créanciers sont à ses trousses. Cette violoniste talentueuse doit radicalement changer de vie pour assurer l’avenir de ses deux enfants. Elle quitte Londres pour s’installer à la campagne, dans une maison délabrée. Tandis que les murs s’effritent et que ses économies fondent comme neige au soleil, Isabel espère pouvoir compter sur le soutien de ses voisins. Elle est loin de se douter que sa présence réveille de vieilles querelles, et que la bicoque dont elle a hérité est un objet de discorde au village. Faire de cette maison le « home sweet home » dont elle rêve s’annonce dès lors comme un combat de chaque instant…
Parce que je t'aime - Guillaume Musso
Un livre profondément humain.
Un dénouement stupéfiant.
Layla, une petite fille de cinq ans, disparaît dans un centre commercial de Los Angeles. Brisés, ses parents finissent par se séparer.
Cinq ans plus tard, Layla est retrouvée à l'endroit exact où on avait perdu sa trace. Elle est vivante, mais reste plongée dans un étrange mutisme.
À la joie des retrouvailles, succèdent les interrogations. Où était Layla pendant toutes ces années ? Avec qui ?
Et surtout : pourquoi est-elle revenue ?Je vous souhaite de belles lectures
et
une belle semaine
5 commentaires -
Coucou tout le monde,
Encore de bons moments passés à lire durant cette première quinzaine de février.
Deux relectures ("La cité de la joie" et "Les filles du capitaine")
et deux découvertes.
Cela fait plusieurs romans de Colette que je lis (pris dans des boîtes à livres) mais je crois que je ne suis pas très sensible à son écriture.
La cité de la joie de Dominique Lapierre
Un prêtre catholique français, un jeune médecin américain, une infirmière et un tireur de pousse-pousse indien se rencontrent sous les cataractes de la mousson.
Ils s'installent dans l'hallucinant décor d'un quartier de Calcutta pour soigner, aider, sauver. Condamnés à être des héros, ils vont se battre, lutter, vaincre. Au milieu des inondations, des rats, des scorpions, des eunuques, des dieux, des fêtes et des soixante-dix mille "lumières du monde" qui peuplent la Cité de la joie. Leur épopée est un chant d'amour, un hymne à la vie, une leçon de tendresse et d'espérance pour tous les hommes de notre temps.
Les filles du Capitaine de Benita Brown
Angleterre, 1864-1880 Depuis la mort de leur mère, Josie et Flora Walton sont choyées par leur père et leurs grands-parents maternels. Les deux adolescentes - l'une brune et réfléchie, l'autre blonde et audacieuse - sont aussi dissemblables que la nuit et le jour, et l'on chuchote que le capitaine, même s'il adore Josie, aurait un faible pour Flora, portrait vivant de sa défunte épouse qu'il idolâtrait. Une préférence dont, pourtant, Josie ne prend pas ombrage. Sa sœur cadette est si jolie, si charmeuse. Bien sûr, elle est parfois capricieuse et instable, mais comment lui en vouloir quand on sait que leur mère est morte en la mettant au monde ? Une tragédie que nul n'ose évoquer et dont Josie, alors âgée de trois ans, ne garde qu'un souvenir confus. Pourtant, elle sait, sent, depuis toujours qu'on lui cache quelque chose. Un secret de famille qu'elle est bien décidée à découvrir pour exorciser enfin les ombres du passé et permettre à tous les siens de s'ouvrir enfin à l'avenir - et à l'amour.
Délivre-nous du mal de Chrystel Duchamp
Février 2018. Anaïs sollicite l'aide de son ami Thomas Missot, commandant à la PJ de Lyon. Pour elle, pas de doute, sa sœur Esther a été enlevée. Pourquoi aurait-elle, sinon, laissé derrière elle ses clés de voiture, ses papiers et son téléphone portable ?
Les mois passent et, tandis que l'enquête s'enlise, d'autres jeunes femmes se volatilisent. Jusqu'à ce qu'un corps soit retrouvé pendu dans une usine désaffectée, le crâne rasé, la langue sectionnée. Puis un deuxième...
Thomas sait désormais qu'un tueur en série sévit dans la région. Mais il ignore encore que ces cadavres ne sont que la partie immergée du plan machiavélique d'un individu avide de vengeance...Nouvelles de Colette
Petite-fille et nièce adorée de deux demi-mondaines, Gigi s'applique à manger délicatement du homard à l'américaine, à distinguer une topaze d'un diamant jonquille et surtout à ne pas fréquenter " les gens ordinaires ".
On lui apprend son futur métier de grande cocotte. Mais Gigi et Gaston Lachaille, le riche héritier des sucres du même nom, en décident autrement. Gigi, un des rares romans d'amour heureux de Colette, donne son titre à ce recueil qui réunit trois autres nouvelles : " L'enfant malade ", " La dame du photographe " et " Flore et Pomone ".Gigi **
L'enfant malade ***
La dame du photographe *
Flore et Pomone ***
Je vous souhaite un excellent week-end
6 commentaires -
Coucou tout le monde,
voici les livres que j'ai lus (ou relus) du 15 au 31 janvier.
D'agréables lectures
Les visagesLa plus grande œuvre d'art jamais créée dort dans les cartons d'un appartement miteux. Ethan Muller, un galeriste new-yorkais, décide aussitôt d'exposer ces étranges tableaux, qui mêlent à un décor torturé, d'innocents visages d'enfants. Le succès est immédiat, le monde crie au génie. Mais un policier à la retraite croit reconnaître certains visages : ceux d'enfants victimes de meurtres irrésolus.
Le vivierDans ce vivier qui est la demeure de Mme Chasseglin, arrive un jeune homme, Philippe, l’oisif neveu de la gouvernante, Mlle Pastif. Désormais, ils vont mener une relation ambigüe, symbolisée par le faux intérêt que Philippe montre pour les interminables patiences que la grosse Mme Chasseglin à l’habitude de jouer, au grand dam de Mlle Pastif qui voit comment son autorité auprès de sa maîtresse devient de plus en plus faible. Mais Philippe ne tarde pas à ressentir un certain écœurement, une oppression croissante, enfermé dans ce vivier où il étouffe, ne supporte plus d’être chéri par une vielle dame, alors que bien des plaisirs lui attendent dehors.
D'eau et de feuAu cœur de l'Ecosse, un vaste manoir victorien abrite une famille fraîchement recomposée. De cette confrontation tumultueuse et violente va naître une intense passion.
Le jeune Scott revient au domaine familial de Gillepsie. Stupéfait, il découvre que son père, Angus, patriarche autoritaire et vieillissant, s'est remarié avec une Française, Amélie. Installée à demeure en compagnie de ses quatre enfants, trois garçons turbulents et une jeune fille, Kate, cette nouvelle belle-mère a bien l'intention de marquer son territoire.
De son côté, Scott ne trouve pas cette famille recomposée particulièrement à son goût. Les tempéraments s'affrontent et les jalousies s'installent. La tension sourd silencieusement autour du véritable enjeu familial : qui sera l'héritier ?
Qui gardera le domaine et fera fructifier l'entreprise de distillerie de Gillepsie ? Chaque clan aiguise ses armes, mais un amour improbable, impossible, fera peut-être tout basculer.Le bois du rossignolJeune veuve, Viola Wither est contrainte de quitter Londres pour emménager chez son austère belle-mère dans sa demeure de l’Essex. À vingt et un ans, elle y voit ses rêves romantiques s’évanouir et son caractère enjoué bridé par l’ennui et les conventions. Pourtant, au mépris des convenances, l’intrépide transgresse les codes?: elle flirte avec Victor Spring, son amour de jeunesse, quand celui-ci est sur le point de se marier.
La bucolique campagne anglaise, les bals grandioses, les passions déraisonnables, la cruauté des rapports sociaux – Le Bois du rossignol est une savoureuse et féroce étude de mœurs, une comédie pétillante et poivrée, dans la lignée d’une Jane Austen qui aurait revisité Cendrillon.La gloire de mon pèreUn petit Marseillais d'il y a un siècle: l'école primaire ; le cocon familial ; les premières vacances dans les collines, à La Treille ; la première chasse avec son père...
Lorsqu il commence à rédiger ses Souvenirs d'enfance, au milieu des années cinquante, Marcel Pagnol est en train de s'éloigner du cinéma., et le théâtre ne lui sourit plus.
La Gloire de mon père, dès sa parution, en 1957, est salué comme marquant l'avènement d'un grand prosateur. Joseph, le père instituteur., Augustine, la timide maman., l'oncle Jules, la tante Rosé, le petit frère Paul, deviennent immédiatement aussi populaires que Marius, César ou Panisse. Et la scène de la chasse à la bartavelle se transforme immédiatement en dictée d'école primaire...
Les souvenirs de Pagnol sont un peu ceux de tous les enfants du monde.LES AVEZ-VOUS LUS ? QU'EN AVEZ-VOUS PENSÉ ?
3 commentaires -
Coucou,
j'espère que tout le monde se porte bien.
Voici quelques grilles des pulls que j'avais tricotés pour mes enfants, car je reçois régulièrement des demandes dans ce sens en MP.
La première grille (SamSam, pour ceux qui ne connaissent pas, est un personnage de dessins animés pour les tout-petits, il existe également des livres de ce super petit héros dont mon fils était très fan) est une création personnelle que je partage volontiers avec vous.
La grille de Tintin m'a été généreusement envoyée par une personne que je ne connais pas, à l'époque où je recherchais des modèles (je n'avais peut-être pas internet ou je n'avais pas trouvé ce que je cherchais)
La grille de Buzz l'éclair (héros de Toy Story) provient d'un vieux livret avec plusieurs modèles de héros Disney.
Enfin, la grille de PIKACHU a été trouvée sur Internet.
Je vous laisse à vos aiguilles.
10 commentaires -
Coucou,
J'espère que tout le monde va bien.
Par chez nous, le temps est froid et gris.
Autant rester à la maison et préparer de délicieuses pâtisseries.
Je vous propose aujourd'hui une
Tarte au chocolat
Pour la pâte sablée
Préparation : 10 min
Temps de pause : 30 min
Cuisson : 15 à 20 min
Ingrédients :
200 g de farine + 50 g de Maïzena
100 g de sucre (personnellement je n'en mets que 80 g)
1 sachet de sucre vanillé
1 oeuf
125 g de beurre
Dans une terrine, mélangez les sucres, la farine, la Maïzena et l'œuf. Travaillez rapidement du bout des doigts et incorporez peu à peu le beurre coupé en petits dés.
Ajoutez si besoin un peu d'eau. Pétrissez. Lorsque la pâte est bien homogène, formez une boule et laissez reposer 30 min.
Préchauffez le four à 180-200°C. Faites cuire le fond de pâte à four moyen à blanc pendant 15 à 20 min.
Pendant ce temps préparez la garniture.
Ingrédients :
200 g de chocolat noir pâtissier.
20 dl de crème fraîche épaisse
8 cl de lait
1 gros œuf (ou deux petits)
Préparation/Cuisson :
10 minutes
Faites fondre dans une casserole : la crème et le lait. Ajoutez le chocolat coupé en morceau.
Quand le mélange est fondu, retirez du feu. Ajoutez les œufs.
Versez la préparation sur la pâte refroidie. Enfournez 10 minutes environ.
Bon appétit
8 commentaires
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