• Le napolitain

     

     

     Coucou tout le monde

     

    Un peu de pâtisserie pour changer

     

     

    Le napolitain

     

     

    Mes enfants aiment bien ce gâteau mais j'avoue que lorsque je me penche sur la liste des ingrédients des napolitains industriels, je tique un peu. Aussi, j'ai été contente de trouver la recette dans un magazine (Femme actuelle ou Maxi, je ne sais plus).

     

    Si, comme moi, vous aimez pâtisser et que vous ne voulez pas que vous et vos enfants avaliez n'importe quoi, 

    je vous donne la recette de ce délicieux gâteaux assez simple à faire.

     

     

    Préparation : 30 minutes

    Attente : 2 heures

    Cuisson : 20 minutes en tout

     

    Ingrédients pour 6 personnes :

    Pour la génoise :

    4 oeufs

    120 g de sucre

    120 g de farine

    10 g de cacao

    1 c à c d'extrait de vanille

     

    Pour la crème chocolat :

    75 g de chocolat noir

    6 à 7 cl de crème liquide

     

    Pour le glaçage

    50 g de sucre glace

    1 c à s de lait

     

     

     

    1) Préchauffez le four à 180°C. Beurrez et farinez un moule et le mettre au frigo (efficace pour que le gâteau n'accroche pas).

     

    2) Placez les oeufs et le sucre dans un bol et fouettez.

     

    3) Ajoutez la farine tamisée.

     

    4) Versez l'extrait de vanille dans 2/3 de pâte et mettez au four pour 10 à 15 minutes. Démoulez et nettoyez le moule.

     

    5) Incorporez le cacao dans le dernier tiers de pâte. Versez dans le moule et enfournez 5 minutes.

     

    6) Laissez refroidir les génoises. Coupez celle à la vanille en 2 dans l'épaisseur.

     

    7) Mettez la crème et le chocolat à fondre. Laissez refroidir. Recouvrez d'une couche de chocolat l'une des face de la génoise vanillée. Faites de même avec l'autre moitié. Montez en alternance : génoise vanillée, génoise chocolatée, génoise vanillée. Couvrez et placez 2 heures au frais.

     

    8) Mélangez le sucre glace et le lait doucement afin d'obtenir un glaçage. Nappez-en le dessus du gâteau et parsemez de vermicelles chocolatés (à défaut, parsemez de chocolat noir râpé)

     

    9) Laissez figer et servez.

     

     

     

    Bon appétit

     

     

     

     

    Le napolitain


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  • J - 1

     

     
    Coucou tout le monde,
    Mon coeur fait boum, boum, boum dans l'attente des premiers retours.
    Je vous propose un nouvel extrait de mon roman "Le ballet des libellules" qui paraîtra demain aux Éditions So romance.
     
    J'espère qu'il vous donnera envie d'en découvrir plus.
     
     
    "Ellie patientait en retrait, étudiant le nouveau venu d’un air circonspect. Quelques rares fils blancs parsemaient ici et là sa chevelure blonde si on y prêtait attention. De fines rides cernaient de magnifiques yeux aux couleurs d’un ciel d’été profond et lumineux dans lesquels il était aisé de se perdre. C’est en tout cas ce que la jeune fille s’imagina, lorsque l’homme s’intéressa enfin à elle.
    – Ne me dites pas qu’il s’agit de la petite Ellie que j’ai fait sauter sur mes genoux lorsqu’elle était bébé ! s’exclama-t-il d’un ton rieur. Il me semble que c’était hier !
    La jeune fille goûta peu ces propos qui la reléguaient au statut d’enfant. Elle n’était plus une petite fille et elle comptait bien le prouver au cousin de sa mère qui, en dépit de son âge, lui paraissait encore des plus séduisants. Elle redressa fièrement le menton.
    – Il y a longtemps que je ne suis plus une enfant ! J’ai fêté mes seize ans il y a trois mois, clama-t-elle avec assurance en défiant Paul de Bressac les yeux brillants de détermination.
    Paul éclata d’un rire franc qui lui caressa les oreilles, mais comme c’était pour se moquer d’elle, elle fronça légèrement les sourcils d’un air contrarié 
    Seize ans. Elle entre dans la fleur de l’âge mais dispose visiblement déjà d’un caractère affirmé, se dit l’homme qui, par réflexe, l’évaluait comme il le faisait à chaque fois en présence de la gent féminine."
     
     
     
    Je vous souhaite une bonne soirée 
    et 
    de belles lectures
     

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  • Les coquelicots du désert

     

     

     

    Coucou tout le monde,

     

    ravie de vous retrouver pour un nouveau

     

     

     

     Service Presse 

     

     

     

    Les coquelicots du désert

     

     

    Ophélie Courtain

     

     

    ❤❤❤

     

     

     

    Résumé :

     

    Marie, infirmière trentenaire, côtoie la vie et la mort au quotidien, au chevet de patients plongés dans un coma profond. Elle les soigne et leur parle, pour maintenir le lien fragile avec le monde des vivants. Elle y déploie une énergie considérable, compensant peut-être à sa façon celle qu’ils n’ont plus, quitte à s’oublier parfois.
    La pression de l'hôpital, la nouvelle direction, les non-dits familiaux, son couple qui bat de l'aile… Marie avance tel un funambule sur le fil du rasoir. Jusqu’au jour du faux pas. Marie perd l’équilibre, et sa vie bascule.
    Ce point de non-retour l’amène à une traversée du désert au cours de laquelle les souvenirs ressurgissent, les émotions s’invitent, son regard s’aiguise et ses perceptions s’affinent… Marie se retrouve seule face à elle-même, mais aussi confrontée à ce que les autres lui renvoient de sa propre vie.
    Cette épreuve la pousse dans ses retranchements, à travers des univers variés – hospitalier, amoureux, psychiatrique, familial, professionnel, amical – la conduisant vers des rencontres inattendues, pour mieux se retrouver elle-même.

     

     

     

    Mon avis :

     

    Tout d'abord, je tiens à remercier l'auteure pour l'envoi de son roman ainsi que Simplement Pro pour la mise en relation.

     

     

    Même si je n’ai pas vraiment réussi à m’attacher à Marie, j’ai ressenti beaucoup d’empathie pour ce qu’elle traverse. Un père trop souvent absent et une mère plutôt cassante ont fait d’elle une femme peu sûre d’elle. Son mal-être et son abnégation au travail la conduisent à ce burn-out, mal souvent insidieux, et qui trouve sans doute son origine dans son enfance.

     

    Je pense que ce qui ne me l’a pas rendu sympa, c’est son attitude avec Nicolas (un homme en or, celui-là !). À défaut de signes d’amour, elle aurait pu, au moins, lui montrer qu’elle était sensible à son attitude pleine de délicatesse, d’amour et d’abnégation.

     

    Il y a une scène entre Clémence et Marie qui tombe un peu comme un cheveu sur la soupe et je n’ai pas très bien compris pourquoi l’auteure l’a écrite, je ne peux en dire plus sous peine de spoiler.

     

    L’écriture est simple, douce et plutôt plaisante (j’ai tout de même noté deux mots familiers dans la narration qui m’ont fait tiquer – on ne se refait pas, mdr).

     

    J’ai bien aimé suivre en parallèle, l’histoire d’Abigaëlle et que les personnages secondaires en général ne fassent pas de la simple figuration.

     

    C’est une histoire qui avance lentement. Elle est très crédible et on peut facilement se projeter sur les différents thèmes abordés en filigrane. Les personnages sonnent juste.

     

    Ce roman est une ode à la bienveillance pour soi. Pour apprendre à écouter ses envies et ses besoins et à se défaire du regard d’autrui. L’auteure distille quelques bons conseils tout le long du roman.

     

     

     

    Bonne lecture

    et 

    merci de votre visite

     


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  • Nos résiliences

     

     

     

    Coucou tout le monde,

     

    aujourd'hui, je vous livre mon ressenti sur :

     

     

    Nos résiliences

     

     

    Agnès Martin-Lugand

     

     

    Coup de 

     

     

     

    Résumé :

     

    Notre vie avait-elle irrémédiablement basculé ? Ne serait-elle plus jamais comme avant ? Étrange, cette notion d'avant et d'après. Je sentais que nous venions de perdre quelque chose d'essentiel. Aucune projection dans l'avenir. Aucun espoir. Rien. Le vide. Une ombre planait désormais sur notre vie. Et j'avais peur. Mais cette peur, je devais la canaliser, l'étouffer, l'éloigner, je ne pouvais me permettre de me laisser engloutir.

    Un seul instant suffit-il à faire basculer toute une vie ?.

     

     

    Mon avis :

     

    Les quelques petites longueurs et répétitions n’ont en rien entamé mon plaisir de tourner les pages au fur et à mesure de ma lecture.

     

    Quand je connais les auteurs et que j’aime leurs écrits, je me contente de lire le résumé sans trop lire les avis laissés ici ou là par les précédents lecteurs. Pour ne pas avoir d’à-priori et avancer dans la lecture à l’aveugle. J’ignorais donc totalement ce qui avait provoqué l’éloignement de ce couple.

     

    Comme j’ai compris et frémi en même temps qu’Ava tout le long du roman ! (Attention spoiler : seule petite discordance que j’ai eue avec elle, c’est quand elle s’est sentie coupable vis-à-vis de Xavier d’avoir cédé à sa pulsion car cet acte de faiblesse était une réponse à l’attitude de son époux qui, par son rejet et sa violence verbale, l’a conduite à cette trahison.)

     

    J’ai « souffert » avec l’héroïne du désintérêt de son époux pour son travail à la galerie, puis de son inquiétude quant au sort de Xavier après l’accident.

    J’ai aimé sa façon de vouloir protéger ses enfants coûte que coûte.

    J’ai souffert du rejet dont elle est victime.

    J’ai été émue par la relation qui s’installe entre elle et Sacha.

     

    J’ai aimé qu’à travers les mots d’Ava, l’auteure souligne les dommages collatéraux du drame. Xavier souffre physiquement. Il souffre aussi psychologiquement, se sentant coupable vis-à-vis de Constance, mais en s’enfermant dans cette souffrance, il occulte complètement les conséquences de son accident sur sa femme et ses enfants.

     

     

    J’ai adoré les différents personnages (le père est peut-être un peu trop en retrait cependant).

    Carmen, l’amie fidèle et exubérante, sur qui Ava peut toujours compter.

    Idriss, le jeune peintre dont on suit l’évolution dans sa façon d’être, qui répond aussi présent, à sa façon plus discrète.

    Sacha, extrêmement émouvant dans sa retenue de chaque instant.

     

    J’ai ressenti des élans de tendresse pour les enfants, parachutés du jour au lendemain dans la dure réalité de la vie. Pénélope fait preuve d’une grande maturité, et le petit Titouan est touchant.

     

    La plume de l’auteure est toujours aussi sensible et agréable à lire dans sa simplicité. J’ai trouvé que ce roman était un peu plus sombre que les précédents.

     

    En résumé, un livre sur la reconstruction après une épreuve, la culpabilité sous différentes formes.

     

    Un livre que je n’oublierai pas de sitôt.

     

     

     

    Bonne lecture à tous

    et

    merci de votre visite

     

     


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  • Le ballet des libellules

     

     

     

     

    Coucou tout le monde,

     

    Pour celles et ceux qui ne me suivent pas sur Facebook,

    je vous dévoile la couverture de mon prochain roman

     

    "Le ballet des libellules"

     

    (tome 2 de "L'envol du papillon")

     

    La sortie a été avancée d'une semaine :

    ce sera le 27 août pour la version numérique

    et

    le 3 septembre pour le broché.

     

    Hâte d'avoir vos retours.

     

    Belle journée à tous.


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