-
Coucou tout le monde,
voici mon avis sur :
Baignade interdite
Joyce Anne Schneider
❤❤❤❤❤
Résumé :
Amanda n'a eu aucune peine à reconnaître la jeune noyée qu'on lui demande d'identifier: il s'agit de Kelly, une patiente de son cabinet de psychiatrie. Mais surtout, les circonstances de ce drame ressemblent étrangement à celles de la mort de sa mère, vingt ans auparavant, sur cette même plage ultra-chic de Grand Cove... Coïncidence ?
Aidée par le médecin-légiste Peter Barron, Amanda entreprend de chercher la vérité, et c'est bientôt autour d'elle que l'étau se resserre. Qui se cache derrière une mise en scène apparemment destinée à la terroriser ? La réponse est tout près, sans doute, enfouie dans sa mémoire…
Un suspense psychologique d'une rare qualité, applaudi à sa parution par la grande Mary Higgins Clark.Mon avis :
J’avoue que j’ai eu beaucoup de mal avec le style d’écriture qui manque de fluidité. Il m’a parfois fallu relire une ou deux fois certaines phrases pour comprendre où voulait en venir l’auteure (et pas toujours avec succès ).
Peut-être n’est-ce qu’un problème de traduction mais c’est tout de même dommage.
L’histoire, elle, est plutôt bien ficelée. J’ai apprécié apprendre en même temps que l’héroïne qui était le coupable car il y a plusieurs suspects. Vous me connaissez bien maintenant, c’est plutôt rare que je ne le découvre pas avant. Alors pour une fois que ce n'est pas le cas, je tiens à le souligner.
Outre l’écriture, je n’ai pas trouvé les personnages très attachants et comme souvent dans ce cas, j’ai eu du mal à accrocher à l’histoire.
En résumé, un beau thriller qui aurait mérité d’être plus fluide pour être « addictif ».
Belle lecture à tous
et
merci de votre visite
5 commentaires -
(Billet programmé)
Coucou tout le monde,
Aujourd'hui, je vous parle du roman de Christian Signol
Les enfants des justes
Résumé :
En 1942, dans le département de la Dordogne, la ligne de démarcation croise le cours de l’Isle. La ferme des Laborie est à deux pas de la rivière et Virgile, n’écoutant que son cœur, ne refuse jamais sa barque à ceux qui tentent de passer en zone libre.
Lorsqu'on propose à Virgile et à Victoria qui n’ont jamais pu avoir d’enfants, de cacher Sarah et Elie, deux gamins juifs perdus dans la tourmente, ils accueillent les petits réfugiés comme un don du ciel. Au fil des jours, malgré les trahisons, les dénonciations, les contrôles incessants, la Résistance s’organise dans le Périgord jusqu’aux reflux des troupes allemandes dans le sang et la terreur.
Avec une sensibilité, une justesse de ton qui bouleversent, Christian Signol évoque cette période douloureuse de l’Histoire où, comme les Laborie, de nombreux Français n’hésitèrent pas à mettre leur vie en jeu avec la simple certitude d’accomplir leur devoir de citoyen, d’être humain.
Ce roman auquel l’auteur tient tant est un superbe hommage à la mémoire de ces Justes qu’on ne peut oublier.Ce que j’ai aimé :
- La plume de l’auteur toujours aussi belle.
- L’histoire toute simple et pourtant touchante.
- L’hommage rendu aux justes qui risquaient leur vie pour sauver des personnes juives.
- La description de la France rurale plongée dans la dure réalité de la guerre.
- La fin qui reste réaliste.
- Le couple et le petit Elie qui sonnent vrais.
Ce que j’ai moins aimé :
- Le personnage de Sarah dont les actes pour retrouver ses parents ne manifestent pas vraiment la peur qu’ont dû ressentir les enfants juifs à cette époque.
En résumé, un énième roman sur le sujet, mais dont j'ai apprécié la lecture toute douce, sans mièvrerie inutile.
Belle lecture
et
Merci de votre visite
4 commentaires -
Coucou tout le monde,
Je vous retrouve aujourd'hui pour l'intégrale de
Cassandra
Anne Jacobs
- Le destin de Cassandra
- Cassandra et ses sœurs
- L’héritage de Cassandra
❤❤❤❤❤
Résumé :
Quatre sœurs contraintes de fuir leur Lancashire natal pour l'Australie.
Angleterre, 1861. Le Lancashire est en crise. Privées de coton, les filatures ferment une à une, plongeant la population dans la misère. Cassandra Blake, ses trois sœurs cadettes et leur père Edwin tentent malgré tout de faire face à l'adversité. Mais la mort du patriarche vient tout bouleverser.
Leur oncle Joseph décide de prendre ses nièces sous son aile, malgré l'opposition de son épouse, qui menace alors Cassandra et ses sœurs des pires représailles si elles ne quittent pas le pays...
Contraintes de dire adieu à leur terre natale, elles embarquent pour l'Australie. Les quatre sœurs parviendront-elles à se construire une vie nouvelle à l'autre bout du monde ?
Une saga au souffle puissant, qui nous entraîne dans une Australie encore sauvage, où tous les rêves sont permis.Ce que j’ai aimé :
- Des personnages attachants. Des héroïnes avec du tempérament.
- Des notes historiques habilement intégrées dans la narration et dans les dialogues.
- Des descriptions qui permettent d’imaginer les lieux sans être trop longues.
- L’écriture fluide et sans fioritures, plutôt addictive.
Ce que j’ai moins aimé :
- Que les sœurs se ressemblent trop alors qu’elles sont décrites comme étant différentes à plusieurs reprises (j’ai eu l’impression d’avoir plus ou moins toujours la même héroïne).
- Que les gentils soient foncièrement bons et les méchants particulièrement mauvais. Un peu de nuance aurait permis de rendre un peu plus crédibles les uns et les autres.
- Des dialogues peut-être un peu trop « modernes » pour l’époque.
En résumé, une saga plaisante à lire, jamais ennuyeuse et sans aucun temps mort et qui laisse la part belle à l’évasion et au romantisme.
Bonne lecture
et
merci de votre visite
1 commentaire -
Coucou tout le monde,
Voici mon retour sur
Ravages
Lison Carpentier
❤❤❤❤❤
Résumé :
Lors d'une séance photo dans une prison désaffectée, Clémence tombe sur une macabre mise en scène : un jeune adolescent crucifié et mutilé. Sur son torse, tatoué, le nom de la photographe...
Photographe passionnée d'exploration urbaine, Clémence s'est lancée seule à la découverte d'une prison abandonnée de Rennes. Mais dans une des salles l'attend la plus macabre des mises en scène : un jeune adolescent suspendu les bras en croix, a été torturé. Sur son torse, une inscription tatouée : le nom de Clémence. Dans la tête de la jeune femme, tout se bouscule : pourquoi s'en prendre à ce garçon ? Et pourquoi la lier à ce crime horrible ? De retour à Paris, aidée par Pierrick, son ami commissaire, la jeune femme tente de démêler les fils de cette sombre histoire. Mais lorsque son propre fi ls disparaît, Clémence n'a d'autre choix que de partir sur les traces de son bourreau. Son cauchemar ne fait que commencer...
Mon avis :
Tout d’abord, je tiens à remercier les Éditions Nouvelles Plumes pour l’envoi de ce roman, gagné sur Facebook.
Pour un premier roman, c’est plutôt bien ficelé.
Si vous aimez les polars un peu sombres et plutôt glauques, il est certainement fait pour vous.
La plume est agréable. L’intrigue est bien suivie. Il y a du suspens. L’auteure ne laisse aucun répit au lecteur. Le fait qu’il n’y ait aucun temps mort rend la lecture particulièrement « addictive ». Lison Carpentier sait brouiller les pistes même si j’ai commencé à comprendre le fin mot de l’histoire page 228.
Clémence, l’héroïne, m’a paru trop détachée dans son attitude pour attirer ma sympathie. Que ce soit le geste fatal avec le jeune ado ou la disparition de son fils, les émotions qu’elle devrait ressentir ne sont pas suffisamment exprimées pour qu’on éprouve de l’empathie pour elle.
Le commissaire Pierrick Delambre est un des rares personnages que j’ai trouvé sympathique. Il est intègre mais avide de protéger la jeune femme avec qui il a une liaison.
L’ex-mari de Clémence, particulièrement odieux, est peut-être un brin caricatural.
J’ai aimé que l’auteure n’édulcore pas le sort de Maxime, victime collatérale d’une vengeance savamment orchestrée. D’autres n’auraient sans doute pas manqué de le faire.
En résumé, une très bonne lecture que je vous recommande.
Merci de votre visite
et
Bonne rentrée à tous,
5 commentaires -
Coucou tout le monde
Un peu de pâtisserie pour changer
Le napolitain
Mes enfants aiment bien ce gâteau mais j'avoue que lorsque je me penche sur la liste des ingrédients des napolitains industriels, je tique un peu. Aussi, j'ai été contente de trouver la recette dans un magazine (Femme actuelle ou Maxi, je ne sais plus).
Si, comme moi, vous aimez pâtisser et que vous ne voulez pas que vous et vos enfants avaliez n'importe quoi,
je vous donne la recette de ce délicieux gâteaux assez simple à faire.
Préparation : 30 minutes
Attente : 2 heures
Cuisson : 20 minutes en tout
Ingrédients pour 6 personnes :
Pour la génoise :
4 oeufs
120 g de sucre
120 g de farine
10 g de cacao
1 c à c d'extrait de vanille
Pour la crème chocolat :
75 g de chocolat noir
6 à 7 cl de crème liquide
Pour le glaçage
50 g de sucre glace
1 c à s de lait
1) Préchauffez le four à 180°C. Beurrez et farinez un moule et le mettre au frigo (efficace pour que le gâteau n'accroche pas).
2) Placez les oeufs et le sucre dans un bol et fouettez.
3) Ajoutez la farine tamisée.
4) Versez l'extrait de vanille dans 2/3 de pâte et mettez au four pour 10 à 15 minutes. Démoulez et nettoyez le moule.
5) Incorporez le cacao dans le dernier tiers de pâte. Versez dans le moule et enfournez 5 minutes.
6) Laissez refroidir les génoises. Coupez celle à la vanille en 2 dans l'épaisseur.
7) Mettez la crème et le chocolat à fondre. Laissez refroidir. Recouvrez d'une couche de chocolat l'une des face de la génoise vanillée. Faites de même avec l'autre moitié. Montez en alternance : génoise vanillée, génoise chocolatée, génoise vanillée. Couvrez et placez 2 heures au frais.
8) Mélangez le sucre glace et le lait doucement afin d'obtenir un glaçage. Nappez-en le dessus du gâteau et parsemez de vermicelles chocolatés (à défaut, parsemez de chocolat noir râpé)
9) Laissez figer et servez.
Bon appétit
4 commentaires