• Les orages de l'été

     

     

     

    Coucou tout le monde,

     

    Voici mon retour sur ma dernière lecture :

     

     

    Les orages de l’été

     

    Tamara McKinley

     

    ❤❤❤❤

     

     

    Résumé :

     

    1947. Olivia Hamilton retourne en Australie, sa terre natale, où sa mère Eva vient de mourir. Avant de disparaître, cette dernière lui a transmis des documents sur ses origines qui ont ébranlé ses certitudes.

    Sur place, Olivia retrouve sa sœur aînée, qui cultive à son égard une franche hostilité. Les archives léguées par leur mère seraient-elles à l'origine de cette animosité ?

    Aidée par Maggie, la gérante de la pension où elle loge, Olivia tentera de percer un à un les secrets qui nimbent son enfance...



    Avec cette saga, dans la lignée de ses grands succès, Tamara McKinley signe son roman le plus personnel.

     

     

    Mon avis :

     

    Une lecture plaisante qui navigue entre « présent » et passé et comme il y a plusieurs personnages, au début, cela fait un peu brouillon. Ceci dit, les anecdotes des unes et des autres sont toujours très bien amenées.

     

    J’ai apprécié les magnifiques descriptions que l’auteure fait de l’Australie en distillant ici ou là de petites touches ponctuées par des dialogues pour ne pas ennuyer ses lecteurs. C’était suffisamment bien décrit pour que j’imagine les paysages qui se portent aux yeux des personnages.

     

    J’ai trouvé dommage, en revanche, de découvrir assez rapidement ce qui est la grande révélation de la fin.

     

    Heureusement, Tamara Mc Kinley sait malgré tout nous captiver avec ces femmes de caractère et la beauté brute de l’Australie. Elle mêle amours, secrets de famille et destins difficiles avec un égal bonheur. Les personnages sonnent juste ce qui donne au roman un ton très réel.

     

    Une belle découverte pour moi qui ne connaissais l’auteure que de nom (d’une part avec son célèbre « La dernière valse de Mathilda » mais surtout avec « L’héritière de Jacaranda » publié en 2011 et dont le titre de la propriété m’avait quelque peu "contrariée" wink2, car je l’avais moi-même choisi pour « L’envol du papillon » écrit en 2008)

     

     

    Merci de votre visite.

     


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    Coucou tout le monde,

     

    Voici mon avis mitigé sur :

     

     

    Danser au bord de l’abîme

     

     

    Grégoire Delacourt

     

     

    ❤❤❤❤❤

     

     

    Résumé :

     

    « Moi, je crois au premier regard, maman. Je crois à la première impression. Je crois au langage de la chair. Au langage des yeux. Au vertige.
    À la foudre.
    Ce à quoi tu crois, ma petite fille, cela aboutit au chagrin. »
    Il y a les promesses que l’on se fait à vingt ans, et les rencontres que nous réserve le hasard. Il y a le bonheur que l’on croyait tenir, et celui après lequel on court. Il y a l’urgence à vivre.

    Beaucoup de subtilité et de justesse. Une émouvante partition sur les éblouissements et les ravages du désir. Bernard Lehut, RTL.

    À mesure que l’histoire, tragique, se déploie, c’est comme si Grégoire Delacourt prenait lui aussi son envol. Rien que pour ces fulgurances, éloges à l’indulgence et à la vie, Danser au bord de l’abîme mérite d’être lu. Lou-Eve Popper, Lire.

     

     

     

    Mon avis :

     

    J’ai trouvé ce roman dans une boîte à livres. C’est le 3e roman de Grégoire Delacourt que je lis (après La liste de mes envies et L’écrivain de la famille).

     

    J’aime beaucoup la plume de l’auteur tout en finesse et poésie. J’ai moins aimé les petits chapitres où il reprend l’histoire de la chèvre de monsieur Seguin et les descriptions répétitives sur le vin (une fois, ça va, deux ça passe, ensuite j’ai trouvé ça lassant). Je n’ai pas non plus accroché aux personnages et c’est toujours un handicap pour moi, comme vous le savez déjà.

     

    Le début de l’histoire est très intéressant (même si je trouve peu probable qu’une femme qui aime son mari et semble assez maternelle avec ses enfants décide de toute quitter pour un homme qu’elle ne connaît pas du tout quand bien même elle éprouve du désir pour lui, mais une liaison, cela aurait été sans doute trop banal).

     

    La deuxième partie est un peu lente mais il s’agit d’une reconstruction, celle de notre héroïne, alors soit, mais là où l’auteur m’a complètement perdue, c’est avec la troisième partie. J’aime pourtant les histoires qui finissent bien mais là, il y a trop de bons sentiments pour que ce soit crédible et c’est vraiment dommage car cela aurait pu donner une très belle histoire.

     

    Cela ne reste cependant que mon avis car il a eu de très bons retours y compris dans la presse. Et vous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?

     

     

    Merci de votre visite


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    (article programmé)

     

    Coucou tout le monde,

     

    Voici mon retour sur

     

     

    Breakdown

     

    Jonathan Killerman

     

    ❤❤❤❤❤

     

     

    Résumé :


    Qu'est-ce qui peut bien lier la mort d'une ancienne comédienne, Zelda Chase, qui a sombré dans la folie et la précarité, avec celle de l'assistant d'un grand cabinet d'avocats et la disparition de deux domestiques latino- américaines ?

    Rien a priori, et la police de Los Angeles semble vouloir classer ces affaires. C'est sans compter sur la ténacitéé et l'efficacitéé du duo de choc Alex Delaware et Milo Sturgis. Car Zelda est une ancienne patiente d'Alex, et sa fin si tragique le laisse perplexe.

    De plus, Zelda avait un fils de 11 ans, Ovide, que l'on ne retrouve pas après la mort de sa mère. Il n'en faut guère plus aux deux compères pour lancer leurs investigations.

    Avec leur façon toute personnelle de mener l'enquête, l'inspecteur et le psychologue vont plonger une fois encore dans la noirceur de l'âme humaine...

    Né en 1949 à New York, psychologue clinicien spécialisé en pédiatrie, Jonathan Kellerman est l'auteur de plus de quarante thrillers, traduits dans le monde entier. Il a également écrit plusieurs romans avec son fils Jesse, auteur du best-seller Les Visages. Il vit à Los Angeles avec son épouse Faye, également romancière.

    Un maître de l'intrigue au sommet de son art ! " Blackpool Gazette

     

     

    Mon avis :

     

     

    J’avais déjà lu « les visages » de Jesse Killerman, mais je crois que c’est la première fois que je lis le père. J’ai tout de suite été séduite par le résumé. Outre le fait que j’aime les thrillers, j’aime aussi beaucoup ce qui touche à la psychologie. Je pense me pencher sur d’autres ouvrages de l’auteur, en retrouvant, pourquoi pas, les deux héros de ce roman puisqu’ils ont mené d’autres enquêtes ensemble.

     

    J’ai apprécié que pour une fois, le duo d’enquêteurs soit deux hommes car généralement, nous avons affaire à un duo mixte. L’accent est tout de même mis sur le psychologue par rapport au flic. Il faut dire qu’à la base, il n’y a pas d’enquête policière. C’est le psy qui vient solliciter l’aide de son ami flic. J’ai trouvé assez sympa leur relation et les notes d’humour qui ponctuent çà et là le roman notamment par le biais de Milos Sturgis. Par contre, la compagne d’Alex fait plutôt de la figuration dans cette histoire, du coup, leur vie de couple semble complètement vide alors que ce n’est pas ce qui ressort dans les propos de l’auteur.

     

    L’intrigue est bien menée. Cela ne va pas aussi vite que dans certains romans du genre qui multiplient les rebondissements mais qu’importe, la plume est prenante et « addictive ». Une bonne découverte pour moi.

     

     

     

    Merci de votre visite,

     

    Bonne lecture à tous


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  • Le souffle des feuilles et des promesses

     

     

    (Article programmé)

     

     

    Coucou tout le monde,

     

    j'espère que votre week-end s'est bien passé.

     

    J'essaie de rattraper mon retard sur mes avis lecture.

     

    Voici celui de :

     

    Le souffle des feuilles et des promesses

     

    Sarah Mc Coy

     

    ❤❤❤❤❤

     

     

    Résumé :

     

    Hallie Erminie, issue d'une famille de planteurs du Kentucky, est une jeune femme de caractère qui adore écrire. À New York, où elle s'est mis en tête de trouver un éditeur qui publierait son premier roman, elle fait la connaissance de Post Wheeler, un journaliste célibataire et fier de l'être. Tous deux discutent à bâtons rompus de la vie culturelle new-yorkaise, bouillonnante en cette fin de XIXe siècle, et s'attachent l'un à l'autre sans oser se l'avouer. Malheureusement, quand Post part pour l'Alaska du jour au lendemain, la possibilité d'une histoire d'amour s'évanouit.


    Commence alors un chassé-croisé qui durera une dizaine d'années, des États-Unis à l'Italie en passant par l'Angleterre ou la France. Tandis que Hallie Erminie rencontre le succès grâce à ses livres, Post Wheeler se destine finalement à une carrière politique. À chacune de leurs rencontres, les sentiments des deux jeunes gens grandissent mais le destin semble peu enclin à les réunir. Oseront-ils s'avouer leur amour ?

     

     

    Mon avis :

    J’avais déjà lu « un parfum d’encre et de liberté » que j’avais moyennement apprécié. J’ai réitéré avec celui-ci car j’aime laisser une deuxième chance aux auteurs, mais j’avoue que cela ne l’a pas vraiment fait pour celui-là non plus.

     

    Certains passages m’ont ennuyé car il y a beaucoup de longueurs dans ce roman qui relate le chassé-croisé amoureux de Hallie Erminie Rives (j’avoue n’avoir jamais entendu parler de cette auteure et de ses romans) et Post Wheeler. Si ces deux personnages ont réellement existé, il s’agit là d’une biographie romancée sur leur amour qui a mis plusieurs années à se concrétiser par une relation amoureuse.

     

    Il y a quelque chose de la « Joe » des « quatre filles du Docteur March » dans Hallie. C’est en tout cas le sentiment que j’en ai eu au début. C’est un personnage très moderne pour l’époque que j’ai dans l’ensemble aimé.

     

     

    L’auteure que je suis a apprécié les passages concernant tout ce qui tourne autour de l’écriture, mais c’est à peu près tout. Il m’a manqué d’action et de piquant pour me plonger avec plaisir dans cette histoire, et les descriptions des différents pays visités n’ont pas su me faire voyager. Un avis en demi-teinte donc.

     

     

    Je vous souhaite de belles lectures

    Merci de votre visite


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  • Un bonheur imparfait

     

     

     

    Coucou tout le monde,

     

    J'ai à nouveau un peu de retard sur mes retours de lectures.

     

    Voici celui de

     

     

    Un bonheur imparfait

     

     

    Colleen Hoover

     

     ❤  ❤  ❤  ❤  

     

     

    Résumé :

     

    Graham et Quinn sont tombés profondément amoureux il y a sept ans. Après une rencontre improbable, ils ont vite compris qu'ils étaient faits l'un pour l'autre. Et puis ils se sont mariés et ont commencé à parler de fonder une famille.
    Les mois, les années ont passé et Quinn et Graham ne sont toujours que deux et leur couple semble s'effriter un peu plus chaque jour. Le désir de Quinn de devenir mère est devenue une obsession qu'elle n'est plus très sûre que Graham partage totalement. Leur relation se distend et ils semblent de moins en moins se comprendre.
    Est-ce que l'amour même quand il est aussi fort peut mourir quand les épreuves se multiplient ou au contraire peut-il en sortir renforcé ?

     

     

    Mon avis :

     

     C’est la première fois que je lis cette auteure (je crois que d’habitude, elle écrit de la new romance ce qui n’est pas ma tasse de thé). Elle traite ici d’un sujet difficile, l’infertilité et ses conséquences sur le couple. On découvre sur la fin que l’héroïne souffre d’endométriose qui complique sérieusement les grossesses. Je trouve dommage que l’auteure ne se soit pas davantage penchée sur cette maladie. Cela aurait pu être intéressant.

     

    Chaque chapitre alterne le « avant » et le « après ». J’avoue que j’ai eu une préférence pour ce dernier qui est plus fort au niveau ressenti.

     

    Le « avant » relate leur rencontre peu banale et la naissance de leurs sentiments au fil de leurs rencontres. Ce côté romance légère permet d’insuffler un peu de répit même si d’un autre côté, cela casse aussi le rythme du drame que nos deux héros vivent. Dans ce « avant », Quinn apparaît comme une jeune fille plutôt solaire mais parfois ses réactions sont un peu agaçantes, notamment parce qu’elle attend trop que les choses viennent à elle sans prendre aucune initiative.

     

    Dans le « après », même si je peux comprendre que le mal d’enfant se fait cruellement sentir pour elle – ses réactions sonnent assez juste dans l’ensemble, elle apparaît de façon plus antipathique car elle agit de manière un peu égoïste par rapport à Graham qui reste pourtant très attentionné envers elle tout le long du roman. On sent qu’il souffre beaucoup de l’attitude de Quinn et on ne peut qu’être touché par les efforts désespérés qu’il fait pour sauver son couple. C’est un homme, puis un époux, qu’on ne peut que rêver d’avoir.

     

    L’auteure a choisi de passer très vite sur leur parcours contre l’infertilité et j’ai trouvé cela dommage. J’aurais préféré que ce soit plus développé. Cela aurait probablement enrichi le roman. A contrario, la partie sentimentale aurait pu être abrégée.

     

    Ce n’est pas un coup de cœur mais l’histoire est plaisante et aborde un sujet qui me tient à cœur ayant dans mon entourage un couple en prise avec l’infertilité. Par ailleurs, sans aller jusqu’à l’infertilité puisque j’étais déjà maman d’un petit garçon, je ne pouvais que comprendre le ressenti de Quinn puisqu’il m’a fallu près de deux ans pour tomber enceinte de mon dernier-né. Tel un boomerang, des choses me sont inévitablement revenues à l’esprit, près de dix-sept après. 

     

     

     

    Je vous souhaite de bonnes lectures.

    Merci de votre visite

     

     

     

     

     

     


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